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Maisons ou Hôpitaux de l'Ordre de Malte
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Département de la Marne

Baconnes   (51)

Seigneurie de l'Hôpital de Baconnes
Département: Marne, Arrondissement: Reims, Canton: Verzy — 51


Hôpital de Baconnes
Hôpital de Baconnes


Crilly


Domaine de l'Hôpital de Crilly
Domus Hospitalis Crilly


La terre et seigneurie de Baconnes était une dépendance de la maison de l'Hôpital de Crilly.
C'est par erreur qu'on a dit qu'elle avait appartenu autrefois aux Templiers. Les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem la possédaient sinon entièrement, au moins en grande partie à la fin du XIIe siècle. Des lettres des prévôt, doyen et chantre de l'église de Reims, rédigées vers l'année 1190, portent que Bauduin de Marcelle ou Marceau, « de Marchello », du consentement d'Havidis, sa femme et de ses enfants, a donné aux pauvres frères de l'Hôpital de Jérusalem, tout ce qu'il possédait à Baconnes, « apud Bacconium », savoir: la moitié de la manse seigneuriale, le four banal, un cens de huit deniers et d'une poule, ainsi que la moitié d'une ouche, « osce », que les hommes du lieu étaient obligés de cultiver pour lui.

Les Hospitaliers acquirent par la suite le restant de la seigneurie, et la possédaient entièrement en 1497, car nous lisons dans un censier de cette année-là: « En toute la ville et terroir de Baconne l'Hôpital, à cause de la maison de Clivy (Crilly), a toute justice haute, moyenne et basse, avec des cens et rentes sur plusieurs héritages. »

Au siècle dernier, le domaine de Baconnes qui comprenait 34 setiers de terre à labour, était réuni avec les droits de justice et de seigneurie, à la maison de Crilly.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)


Berméricourt   (51)

Ancien terrier de la seigneurie de Berméricourt
Département: Marne, Arrondissement: Reims, Canton: Bourgogne — 51


seigneurie de Berméricourt
Seigneurie de Berméricourt


Voici le titre de ce document, conservé aux Archives de Reims, qui nous fournira divers renseignements historiques et topographiques: « Athlas de Rerméricourt, ou cartes au simple trait des 41 cantons de cette Terre, dans lesquels sont marqués par une petite croix de Malthe, les Terres du Domaine de la Commanderie du Temple de Reims; le reste chargé de Rentes foncières ou Censives avant l'extinction du régime féodal, par décrets du 24 février 1790 et jours suivans (1). »

Nous donnerons seulement l'analyse des feuillets contenant des indications sur les lieux dits et sur le plan du village au dernier siècle.
Le 3e feuillet offre dans un cartouche le titre suivant:
Berméricourt, plan général de la Terre, divisée en 41 cantons, réduite au 16e sur l'échelle de la grande carte, levée aux mois d'Août et 7 septembre 1787.
Parmi les lieux dits nous signalerons ceux de La Motelle et du Bas de la Motelle, avec une croix à la rencontre du chemin de Merlet et d'Aguilcourt, de La Thuillerie ou Château d'Anesson, du Fonds des Bois de Séchamp, de la Fosse Navarre, avec un vieil arbre au bord du chemin, de la Croix Forzy, avec une croix à la limite du terroir vers Brimont, Les Mazures, Derrière les Vignes et Derrière les Granges, près du village, enfin une autre croix au lieu dit Berchamp, Croix-Guérin, sur le chemin des Boeufs. Le chemin des Moutons se trouve à l'extrémité opposée du terroir vers Orainville. Un chemin est dénommé de l'Etappe ou Voge d'Aguillecourt. Presque tous ces chemins se croisent autour du village aux lieux dits Faisse du Cessier, Au dessus de la Gloye et les Fosses.

Le 4e tableau contient la Table d'Indication avec les chiffres, sans les renvois, et, en regard, dans un cartouche:
Berméricourt, 1er canton, Les Mazures, puis le plan colorié du village, dans son état encore très réduit au XVIIIe siècle.
L'église se trouve au nº 1; elle est de forme carrée, au milieu du cimetière actuel.
Les maisons se groupent sur la Grande rue qui va à Orainville; du côté ouest de l'église, portant le nº 53, une maison avec grande cour est indiquée, par une croix de Malte, comme étant le domaine de la Commanderie du Temple.
De nombreux clos plantés entourent les maisons.
Deux gloies sont à l'entrée et à la sortie du village, et une au milieu.
Une croix se trouve en face de la gloie voisine du chemin de Loivre (2).
Une feuille jointe indique pourquoi ce plan du village n'a pas de légende.

Les tableaux suivants, non coloriés, offrent tous les cantons du terroir avec quelques-uns des noms des propriétaires en légende: ces noms mentionnent fréquemment la Commanderie, M. Ruinart, Mme Le Tertre, M. Tronsson, de Reims, l'abbaye de Saint-Remi, la Fabrique, et des habitants du village: Creveaux, Prévôteau, Viellard, Warnier, Merlet, etc.

Les terres de la Commanderie sont toutes marquées d'une croix de Malte.
1. Nº 4. Recueil de 33 feuillets, y compris le titre et la table en tête. Fonds du Temple de Reims aut Archives de cette ville (peu nombreux et n'offrant, en dehors de ce terrier, qu'un petit nombre de pièces du XVIIIe siècle).
2. Un réservoir d'eau existe encore à gauche de l'entrée du village en venant de Loivre, entouré d'une maçonnerie en pierres dures, avec dalles de recouvrement, empierrement pour la descente, ensemble qui pourrait remonter au XVIIIe siècle.

Sources: Travaux de l'Académie nationale de Reims Bnf


Chapelle-Lasson (La)   (51)

Domus hospitalis de La Chapelle-Lasson
Département: Marne, Arrondissement: Epernay, canton: Anglure — 51


Domus hospitalis de La Chapelle-Lasson
Domus hospitalis Chapelle-Lasson


On connaît peu de choses sur cette maison de La Chapelle-Lasson, que le Livre-Vert nous dit avoir été, au XIVe siècle, une commanderie de l'Hôpital. Elle ne devait pas avoir une grande importance. Nous trouvons seulement qu'il en dépendait, en 1300, un membre qui était une maison, avec des terres à Sézanne.

Un terrier de 1639 nous apprend que le Commandeur était le seigneur spirituel de la Chapelle-Lasson, attendu qu'il nommait à la cure, et qu'il profitait de la plus grande partie des dîmes de cette paroisse.

Le domaine de l'Hôpital se composait alors d'environ 70 arpents de terre, qu'on laissait avec la dîme au curé, pour lui tenir lieu de prébende.

Vers la fin du siècle dernier, les commandeurs de Couleurs négligèrent de nommer à la cure de la Chapelle-Lasson, parce qu'elle manquait d'un revenu suffisant. C'était l'évêque de Troyes qui y pourvoyait, en chargeant le curé de Marsangis, village voisin, de desservir cette paroisse.

Coulours



Domus Hospitalis Coulours
Domus Hospitalis Coulours


La commanderie de Coulours était d'un revenu de 499 livres, en 1338. Ce chiffre était descendu en 1595, à cause des guerres qui avaient eu lieu, à 269 livres. Il s'était relevé en 1583, à 5,250 livres ; en 1732, à 41,755 livres. Il avait atteint en 1757 le chiffre de 18,000 livres ; et en 1782, celui de 32,492 livres.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)
Chapelle-Lasson (La), commune d'Anglure
— Capella, Capella-de-Laçon, 1238 (Teulet, trésor des chartes, tome II, page 385)
— Capella-Lapsonis, 1407 (pouillé de Troyes, n° 265)
— Capella Lassonis, 1443 (évéché de Troyes, G 22)
— Cappella Lassonis, 1457 (pouillé de Troyes, N 35)
— La Chapelle-de-Lasson, 1493 (archives nationales Q1 671).
— Capella-Lassonie, 1532 (archives de l'Aube, G 671)
— La Chappelle-de-Lasson, 1535 (Sellières, 9H1)
— La Chapelle-Lasson était compris, en 1789, dans l'élection de Sézanne et suivait la coutume de Meaux. Son église paroissiale, diocèse de Troyes, doyenné de Sézanne, était consacrée à saint Pierre; le grand prieur de France, de l'ordre de Malte, présentait à la cure.
Sources: Dictionnaire Topographique du département de la Marne, par Auguste Longnon. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. XCI


Crilly   (51)

Commanderie de Crilly
Département: Marne, Arrondissement: Epernay, Canton: Ay, Commune: Ambonnay - 51



Commanderie de Crilly

Commanderie de Crilly


Nous n'avons pas trouvé le titre de fondation de cette ancienne commanderie de l'Hôpital. Tout ce que nous savons, c'est qu'elle existait dans la première moitié du XIIIe siècle. Une charte de Jean de Blois et de Gérard de Menez, chanoines préposés à l'officialité de Reims, approuve et confirme en 1248 la vente faite par Pierrot de Tours-sur-Marne, écuyer, surnommé le « Juif », aux Commandeur et frères de la maison de l'Hôpital de Jérusalem de Crilly, « Magistro et fratribus domus Hospitalis Iherosolimitani de Clivi », d'une partie d'un bois situé au-dessus du village de Bouzy, « desuper villam de Boizei », vers le mont appelé « Mondemange. »

Les guerres du XVe siècle avaient tellement ruiné la commanderie de Crilly, qu'on la supprima, pour en réunir les biens à celle de Reims.
En 1495, la maison et la chapelle étaient en très-mauvais état, et les terres ne rapportaient presque rien. Cette situation ne s'était pas améliorée au siècle suivant, car nous voyons dans un bail de l'année 1565, qu'un nommé Berthier occupait alors « un lieu appelé Clivy, assez près d'Ambonay, où d'ancienneté souloit avoir maison et autres édifices qui, depuis longtemps, sont tombés en grande ruine, par les guerres et les terres, à cause de leur stérilité, parce qu'elles sont en Haut Champagne, sont la plupart en friche. »
Le Commandeur était seigneur de Crilly avec la haute, moyenne et basse justice.

La chapelle de Crilly était dédiée à saint Jean-Baptiste ; et, au XVe siècle, on y disait la messe tous les dimanches et les jours de fêtes. Au siècle dernier, on n'y disait plus qu'une messe par an, le jour de la saint Jean-Baptiste. C'était le curé de Condé-sur-Marne qui remplissait ce devoir, et il recevait pour cela trois livres.

Les terres qui formaient le domaine de Crilly, dépassaient au XVIIIe siècle, 300 arpents en labour, prés et vignes. Il y avait encore des bois à Trépail, près d'Ambonnay, le Bois dit du » Grand-Champ-Morin », et celui du « Petit-Champ-Morin. »
Le revenu de Crilly, qui était en 1495 de 20 livres 5 sols, s'élevait en 1757, à 400 livres; et en 1788, à 900 livres.
Ancien Commandeur de Crilly
1316. Frère Eudes.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)
Crilly, ferme sur la commune d'Ambonnay
— C'est une ancienne maison de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem
— Domus Hospitalis de Cliveio, 1224 (Archives Nationales, S 5037, 14)
— Domus Hospitalis Jherosolomitani de Clinii, Remensis dyosesis, 1248 (Ibidem, 20)
— Cliveyum, 1270 (Avenay, C.2)
— Clineyum, 1292 (Archives Nationales, S 5037, 4)
— Clini, 1316 (Ibidem, S 5035, 12)
— Cliny de lez Ambonnay, 1366 (Ibidem, 15)
— Crilly le Moulin, 1720 (Saugrain, tome I, page 469)
— Clivet, Crilly, 1830 (Cornet-Paulus)
Sources: Dictionnaire Topographique du département de la Marne, par Auguste Longnon. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. XCI


Prunay   (51)

Domus Hospitalis Prunay
Département: Marne, Arrondissement: Reims, Canton: Beine-Nauroy — 51


Domus Hospitalis Prunay
Domus Hospitalis Prunay


La maison de l'Hôpital de Prunay, qu'on trouve appelée dans les anciens titres « Ponneroy, Pontuerois, Ponturay, Pontyray ou Pontvray », était située entre Sillery et Beaumont, non loin de La Vesle, sur le chemin de Reims à Chalons.

Il en est fait mention pour la première fois dans une charte de Henri, archevêque de Reims, du mois de juillet 1232, par laquelle ce prélat confirme la donation faite par Drogon, chanoine de la cathédrale de cette ville aux frères de l'Hôpital de Jérusalem, de dix-huit fauchées de pré qu'il avait à Tours-sur-MarneDomus Hospitalis Tours-sur-MarneDomus Hospitalis Tours-sur-Marne, « apud Turres super Matronam. » Il est dit que cette donation est faite sous la condition que ces prés appartiendront à leur maison de « Pontuerois », afin d'augmenter le revenu du chapelain, et d'assurer en tout temps le service de la chapelle de cette maison.

En 1281, Guy, seigneur de Sillery, « de Sallereyo », par des lettres de cette date, émanées de l'official de Reims, dégrevait les frères de l'Hôpital d'un cens de huit deniers par an, qu'ils lui devaient sur leur maison, nommée « Ponneroy. »

Jacques de Saint-Dizier, commandeur de Reims, loua en 1357, à un nommé Noël, dit Couchecuffaye, et à Sebile, sa femme, demeurant à « Prunnoy », la maison de « Ponneroy » avec les terres en dépendant, moyennant une redevance annuelle de sept vingts (140) setiers de grain.

En 1495, la maison qui tombait en ruines fut rebâtie, et la chapelle qu'on répara fut remise à neuf. « A deux heures de Rheims, y a une ferme appellée Ponturay, en laquelle la commanderie a toute jurisdicion, et y a une chappelle que le Commandeur y a faicte réparer tout de neuf depuys deux ans, et servie d'une messe par sepmainne. Oultre plus y a faict faire ledit Commandeur, maison et grange tout de neuf, qui sont pour l'usage du fermier, qui donne de pourfit en grain moitié seigle et avoyne, XVIII sestiers. »

Les seigneurs de Sillery ont été les grands bienfaiteurs de la maison de Prunay. Parmi les donations qu'ils lui ont faites, nous citerons celle de Guy de Sillery, passée en décembre 1583, sous le sceau du bailli de Vermandois, en résidence à Reims. Par cet acte, le seigneur Guy déclare avoir donné à la Sainte-Maison de Saint-Jean-de-Jérusalem « de Pontyray, qui siet sur Velle, entre Sillery et Biaumont, sur le chemin de Rheims et de Chalons », le droit de pâturage pour les bestiaux de cette maison dans ses paquis et dans ses prés, « deçà et de là l'eaue, entre la maison susdite et celle de Sillery jusques à Puisieux, là où les paquis sont contre la maison de Sillery. »

Il leur accorda en outre le droit de scier de l'herbe en ses prés, comme de prendre de la marle dans ses terres, et renonça à tous droits de justice et de seigneurie sur la bouverie et le four de l'Hôpital.

Au commencement du XVIIe siècle, les terres de la maison de Prunay eurent à souffrir de grands dommages, par suite du débordement des eaux de La Vesle. Ce débordement avait été causé principalement par un barrage ou une chaussée qu'avait élevée dans son marquisat de Sillery, Messire Louis de Bruslard, grand chancelier de France. Pour éviter un procès que Marie Cochois, alors commandeur de Reims, allait lui intenter, le marquis de Sillery proposa d'acheter le domaine de « Pontvray. » Ce qui fut accepté, après avis pris tant à Paris qu'à Malte. Le contrat fut signé le 4 novembre 1617, et le prix de la vente, qui était de 6,300 livres, fut employé dans l'achat fait en 1646, au profit de la commanderie, d'une maison à Paris, rue Saintonge, au Marais, laquelle était louée en 1757, 220 livres; et, en 1783, 500 livres.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)


Tours-sur-Marne   (51)

Domus Hospitalis Tours-sur-Marne
Département: Marne, Arrondissement: Reims, Canton: Beine-Nauroy — 51


Domus Hospitalis Tours-sur-Marne
Domus Hospitalis Tours-sur-Marne


Il dépendait de la maison de Prunay un petit domaine à Tours-sur-Marne. C'était une ferme avec quelques terres et des bois.

Un noble personnage, du nom d'Eustache de Conflans, avait donné en 1195, aux frères de l'Hôpital Saint-Jean-de-Jérusalem, quatorze journaux de terre arable qu'il avait à Tours-sur-Marne, « apud Turres super Matronam », et tous les bois qu'il possédait à BouzyDomus Hospitalis BouzyDomus Hospitalis Bouzy, « apud Bozeias », et à AmbonnayDomus Hospitalis AmbonnayDomus Hospitalis Ambonnay « apud Ambonai » avec tous ses droits de justice et de seigneurie.

La ferme qui était une grange dès l'origine, leur avait été concédée par un chanoine de Reims, Pierre de Grenons, ainsi qu'il résulte de ses lettres du mois de décembre 1247.

Le domaine de Tours cessa d'appartenir à l'Hôpital, qui l'accorda au XVe siècle, à cens et rente perpétuelle à diverses personnes.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)

Bouzy, canton d'Ay.
— Ecclesia de Bauseis, 1299 (Fonds de La Neuville-au-Temple, C, 5)
Sources: Dictionnaire Topographique du département de la Marne, par Auguste Longnon. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. XCI

Commanderie de Crilly


Commanderie de Crilly
Commanderie de Crilly


Crilly, ferme commune d'Arbonnay
— C'est une ancienne maison de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem
— Domus Hospitalis de Cliveio, 1224 (Archives Nationales S 5037, 14)
— Domus Hospitalis Jherosolomitani Clinii, Remensis dyosesis, 1248 (Ibidem, 20)
— Cliveyum, 1270 (Avenay, c, 2)
— Clineyum, 1282 (Archives Nationales S 5037, 4)
— Clini, 1316 (Ibidem, S5035, 12)
— Cliny de lez Ambonnay, 1366 (Ibidem 15)
— Crilly le Moulin, 1720 (Saugrain, tome I, page 469)
— Clivet, Crilly, 1830 (Cornet-Paulus)
Sources: Dictionnaire Topographique du département de la Marne, par Auguste Longnon. Paris Imprimerie Nationale M. DCCC. XCI


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